Roi ours de Mobiclic
XIPIL est la jeune fille du chef promise en sacrifice au dieu Caïman. Mais Roi ours intervient, libère la jeune fille et l’emmène avec lui. En agissant ainsi, Roi ours « vole » en quelque sorte l’offrande destinée à Caïman. C’est alors à lui que la vie de XIPIL va de droit. Roi ours souhaite trouver un arrangement avec Caïman, qui elle compte bien en tirer profit…
C’est une histoire étrange, envoûtante et triste qui réunit Hommes et Dieux, lesquels sont des animaux avec des caractéristiques humaines. Le graphisme est épuré avec des couleurs éclatantes et par moment très chaleureuses.
Elisa 4e – collège Fraissinet à Marseille
Xipil, une jeune amérindienne, est offerte en sacrifice à la déesse Caïman. Or, Roi ours la libère et lui dit de retourner chez elle. Les siens ne l’acceptent pas et Roi Ours lui demande de l’épouser. C’est le début d’une longue histoire…
Les aspects positifs :
- Style graphique très beau
- Histoire originale
- Mix des différentes tribus amérindiennes
- Le dessin à été en partie fait à l’aquarelle
Les aspects négatifs :
- Palette de couleur : vert, beige, noir, blanc et gris, donc assez réduite.
Chloé 5e – collège Fraissinet à Marseille
Sunny de Taiyo Matsumoto
L’histoire prend place dans un centre pour enfants qui doivent vivre, pour une raison ou une autre, éloignés de leurs parents. Ces gamins ont pourtant un autre point commun que de vivre ensemble en communauté, c’est ce sentiment de solitude qu’ils portent au fond d’eux. Leur seul lieu de prédilection est une vieille NISSAN SUNNY, abandonnée dans le jardin. C’est là qu’ils laissent libre cours à leur imagination et où tout devient possible. Dans ce manga, TAIYO MATSUMOTO nous raconte leurs histoires et leur quotidien.
Ce manga est juste et humain, il aborde également de grands thèmes comme l’abandon, vivre sa vie sans avenir et vivre en communauté, mais aussi le besoin de s’évader de son quotidien.
Mais le style de dessin n’est pas très compréhensible et les personnages sont dessinés de façon simpliste, les traits manquent de précision. Honnêtement, entre un titre énigmatique et une couverture qui ne dit pas grand-chose, SUNNY n’est pas très engageant mais il mérite d’être lu.
Elisa 4e – collège Fraissinet à Marseille